Oh mon Hérault !
Camp 2007 (25 juillet-4 août)

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Les protagonistes

(par ordre d'apparition dans l'histoire)
Hans, Rita, Willy et Clovis
Jean-Marie (Jim ou Monsieur le Comte), Patrick
Christophe (Zit), Jonathan, Yves (Dudu, Seigneur de la Glande)
Tanguy (Chiwanga ou Nestor)
Yves (la mirabelle sacrifiée), Jeanine

Nous voici logés pour ce camp au camping du Pic Saint Loup, juste derrière la piscine (très bon plan!) à Saint Martin-de-Londres dans le département de l'Hérault. Les activités démarrant dès le lendemain de notre arrivée, mais commencerons par voir à quelles sauces nous allons manger et être mangés.

Les Menus

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Jeudi 26 juillet

Au programme : au choix

*       La grotte-exsurgence du Garrel (Jim, Zit, Hans, Tanguy, Patrick)

*       Tennis sur table (Eh oui!) et balade karstique à 18 trous (Dudu, Jonathan)

On aurait du sentir l'arnaque dès le départ puisque nous nous sommes retrouvés face à un puits quelques mètres après l'entrée (comment fait-on ce p… de nœud de cabestan?), ensuite un lac qui se traverse à pieds (pas moyen de le traverser en dos crawlé, alors qu'on était prêt psychologiquement) et deux pigeons qui avaient cru que le matériel n'était pas indispensable (Pourquoi crient-ils alors "Corde libre"? – On s'en fout on ne vient pas!
Alors, le descriptif : "facile et très belle"; sur les 100 premiers mètres à tout casser et on laisse tomber le "très".
 

On a passé trois heures là dedans à monter et descendre et remonter et redescendre des petites galeries, passer un laminoir, se trimbaler enfin dans une grande galerie jusqu'à la "Salle à manger" (Pas sûr!) en passant par la "Salle de la Pendeloque" (Pas sûr!), on aurait même dû voir un "Phallus" (phallus - pendeloque, tout est question de direction).
"N'est-il pas temps de faire demi-tour?" Nul ne sait qui a osé (quelqu'un de bien!) mais l'unanimité n'a pas été longue à obtenir. Une heure trente de retour, l'écurie avait comme une odeur de Leffe.

Quelle ne fut pas notre surprise d'apprendre que l'équipe de la Sainte Glandouille en folie avait engrangé 36 points avec leur balade karstique à 18 trous menée avec une volonté inébranlable alors que nous n'en avions obtenu que 5.
C'est le monde à l'envers pour certains et la révélation pour un autre.
Ce soir repos au camp avec soirée dansante typique du coin ("Oma, Papa, pataten en saucissen"), suivi d'une bonne nuit de repos bercée par le doux ronronnement des moteurs (J'oubliais, on a vue sur la route départementale)

Vendredi 27 juillet

Au programme :

*       Trou Fumant de l'Olivier et Event de Rognès (Jim,Zit, Hans, Tanguy)

*       Grotte des Demoiselles (Dudu, Jonathan, Patrick)

La journée a commencé tout en douceur : après quelques recherches sur le positionnement d'un pont de chemin de fer, puis d'un mas provençal (nous étions guidés par nos rois du GPS, CQFD!). Que ne fut pas notre bonne surprise d'être accueillis par une charmante propriétaire qui nous a aimablement invité à prendre l'apéritif  au bord de sa piscine. Le vrai accueil nord-montpellierain!

Bon, c'est probablement l'effet de la Leffe que je sirote tout en rédigeant ce compte-rendu car en fait de "Vénus charmante", nous avons été éconduit (et le mot est faible par un petit excité hargneux qui s'est retenu de lâcher ses chiens. Bye bye le Trou Fumant de l'Olivier, il faudra attendre un changement de proprio pour visiter la cavité.

Direction Event de Rognès, les cordes embarquées ne nous permettant pas de nombreux autres choix. L'entrée dudit Event (et non Aven) ne fut localisée qu'après quelques recherches derrière la décharge du coin. Courant d'air frais pour aider à l'habillage, puis étroiture verticale avant une progression aquatique où on avait de l'eau jusqu'aux cou…des (Ouf! Z'avez eu peur?).

Ce début de camp est décidément celui de l'amateurisme!

Hier, c'était une cavité faite sans matériel alors que cela s'avérait utile et aujourd'hui une rivière où une néoprène n'aurait pas été du luxe. Alors que les Stalacs se distinguent par leur professionnalisme!…

Pendant ce temps, l'équipe de la Sainte Glandouille s'attaquait à la Grotte des Demoiselles, celle-ci démarre par une grande galerie remontante de 160 mètres de long pour un dénivellé de 52 mètres (Ici, au moins, le matériel n'est pas vraiment nécessaire).

Apparemment, c'est une grotte très fréquentée car, à force de passages répétés, des marches se sont créées; il suffit de suivre le tracé.

Après un petit boyau remontant, nous arrivons dans une première salle remplie de concrétions sèches qui nous amène au pied de l'entrée supérieure. Une succession de petites galeries (de difficultés diverses, rien n'est jamais simple…) nous conduit au but de notre expédition : la Salle de la Cathédrale.

Cette superbe salle de 120 mètres de long pour une largeur d'environ 40 mètres et une hauteur de plus de 50 mètres est un joyau de concrétionnements divers mais majestueux. L'effondrement de certaines de ces énormes concrétions nous fait prendre conscience du danger qui nous entoure sachant que le sol se tasse à certains endroits et que le sommet de certaines colonnes de plusieurs dizaines de mètres de haut se détache du plafond et que dès lors ces dernières ne sont plus aussi stables qu'on le souhaiterait.

 

Après un dernier regard émerveillé vers ces splendeurs nous empruntons quelques petits boyaux pour rejoindre la grande galerie et la sortie.

Un grand merci à Dudu et Jonathan de m'avoir accompagné dans cette aventure aux risques jusque là méconnus. J'espère que l'autre équipe aura eu la chance de contempler d'aussi belles merveilles (et de nous ramener des photos!).

Samedi 28 juillet

Au programme :

*       Rochers de la Calasse (Jim, Tanguy, Hans, Zit, Jonathan, Patrick et surtout Dudu pour le support logistique)

*       Grotte du Sergent en reconnaissance (Zit, Tanguy, Jim)

*       Water-polo au Lac Majeur et balade karstique de 18 trous (Dudu, Jonathan, Patrick)

Ce matin nous allons nous détendre (façon de parler!) sur des rochers le long de la Buèges (c'est une petite rivière).

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Les voies concernées sont "Petit papa baston", une 3b (c'est sa cotation suivant la difficulté, faut tout expliquer!), "La nuit des blaireaux", une 4b (c'est ça …, vous aviez compris), "Du sirop pour les guêpes, une 6a et "La saga de Thorngull", une 5b.

Suite à cette séance de grimpette, un petit désaccord est né entre certains protagonistes car les spécialistes accordent des points aux voies suivant leur difficulté. Or, le responsable activités ne veut pas accorder ces points car ce ne sont pas des points "grottes" (mesquinerie que tout ça!). Bref, on s'est fait à nouveau arnaquer; encore une débauche d'énergie dépensée pour rien.

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Après cette matinée épuisante, l'équipe de la Sainte Glandouille est partie se relaxer au bord de la piscine (C'est le Lac Majeur, ben oui…) et s'est même offert une petite séance de water-polo, histoire de garder la forme. Mais certains esprits "chagrins" n'hésitent pas à dénigrer ce genre d'activité plaisante, la suite nous montrera que l'appel de la Sainte Glandouille est puissant et que certains forcenés étaient prêts à passer du côté obscur…

Pendant que l'équipe glandouille trahissait ses principes
(Rien compris, c'est pure stratégie!) et s'activait au water-polo (Ca, c'est un esprit chagrin à coup sûr!), trois forcenés en ont profité pour se reposer (Délire!) en allant faire une petite reconnaissance dans la Grotte du Sergent. Malgré l'absence du GPS de Hans, l'entrée a été trouvée sans trop de problème en haut d'une petite escalade de 15 mètres. Heureusement qu'il y a eu l'entraînement au matin!
La montée avec les kits fut assez torride…
<INTERLUDE>
C'est l'heure du repas, le compte-rendu sera repris plus tard.
<FIN DE L'INTERLUDE>
La balade dans la grotte fut tout aussi torride que la marche d'approche (certains préférant, dès lors, des docks-side aux bottes). Nous enfilâmes le P200 (centimètres, bien sûr!) avant de buter sur un siphon de … sable, grotte chaude et sèche.
Le Réseau Nord fit également l'objet de la prospection, mais seul le Lac des Paresseux fut atteint (les autres ont probablement été franchis à sec). La déshydratation nous guettant, nous rentrâmes au camp pour terminer (???) le bac de Leffe.
Et dans cette histoire, Jim s'est fait voler sa batterie ou elle est partie toute seule ou il l'a bêtement oubliée au camp, mais on n'en fera pas tout un plat!
 

29 juillet

Au programme :

*       Grotte du Sergent (Jim, Zit, Hans, Tanguy, Patrick, Jonathan)

*       Le Lac Majeur en solo

Ce dimanche matin nous partons déjà faire la dernière grotte du séjour pour les Sarteel père et fils, l'appel du retour se fait de plus en plus pressant (après la grotte, retour direct en Belgique).

La glandouille au bord du lac majeur n'aura plus la même saveur sans deux de ses meilleurs éléments.

Après une marche d'approche d'une vingtaine de minutes, nous arrivons au pied de l'entrée qui se trouve une dizaine de mètres au-dessus de nos têtes. Après l'escalade , nous nous équipons dans l'entrée de la grotte (tenue légère conseillée, ce n'est pas une grotte froide!). Cette grotte est caractérisée par une présence phénoménale de sables et alluvions (Y a même moyen de faire des pâtés et un château, mais pas le temps…) et elle est parfaite pour l'initiation. La balade nous fait croiser encore quelques concrétions et après un terrible puits de … (voir le récit sur la reconnaissance) la balade continue pour arriver sur une grande descente sablonneuse se terminant sur une siphon. Demi-tour et direction la sortie pour certains et continuation vers le réseau Nord pour les autres.

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Le réseau Nord : Après une petite hésitation d'ordre administratif, Hans, Jim et Tanguy se décident à faire le réseau Nord (Disons aller une salle plus loin que la veille, mais bon…). Nous décidons donc d'avancer léger et de laisser sacs, matériel et …l'eau (Dans cette grotte chaude, bien vu!).

Le but était de montrer à Hans jusqu'où Zit avait été la veille. Un petit laminoir, un lac, une salle avec des colonnes et une étroiture plus loin, nous arrivons dans une grande salle avec une étroiture verticale. En bas, nous comprenons vite qu'il s'agit de la suite tant cherchée; la progression est sportive et de plus en plus torride (Qui c'est qui à laissé la flotte avec le matos?)

Un petit truc de trente minutes! (Belle arnaque)

Finalement, Jim en tête, et voulant trouver un passage, passe la tête dans un trou (de chez trou) et crie "La diaclase". Après une évolution à mi-hauteur de cette diaclase aux parois coupantes, nous arrivons à un ruisseau où nous décidons de faire demi-tour par manque d'eau et de topo, l'appel de la "Mousse" étant trop fort.

30 juillet

Au programme :

*       Aven de la Combe du Buis (Hans, Tanguy, Jim)

*       Sentier des Drailles et le Lac Majeur pour le rescapé de l'équipe de la Sainte Glandouille

*       Ravin des Arcs (Rita, Willy, Yves)

Zit nous ayant quitté la veille, nous en profitons pour attaquer un réseau vertical. Le choix se porte sur l'Aven de la Combe du Buis qui présente un beau P70. La localisation de l'entrée se fait assez rapidement, la seule difficulté étant la progression à 45° dans la rocaille : pour chaque mètre grimpé, on redescend de la moitié et l'évolution se fait en sandales ou pieds nus (Quel talent!)

Après une petite galerie horizontale, on arrive très vite au premier puits annoncé comme P12, la corde prévue est trop courte de 5 mètres et il faut ré-équiper avec celle prévue pour le P19. A la base du deuxième puits, un petit palier où des chauve-souris nous accueillent permet un regroupement avant le grand puits. Fidèles à nos traditions, nous n'avons pas de corde suffisamment longue (85 mètres) pour équiper d'un seul trait; qu'à cela ne tienne, deux cordes avec un beau nœud au milieu devraient faire l'affaire. Vu les crissements et autres bruits émis à chaque descente, on vérifie bien que tout est bien vissé ou mis correctement, mais c'est bien la corde qui geint.

Au deuxième fractio, nous sommes contents de trouver une nouvelle corde qui ne nous stresse pas. Après quelques difficultés de calculs de longueur de cordes, nous arrivons dans une grande salle à la base de laquelle se trouve un passage entre blocs permettant de poursuivre la descente vers un réseau assez horizontal. Jim ayant prévenu qu'il ne se mouillerait pas, c'est Tanguy qui se lance dans la succession de lacs et Jim, bien obligé de suivre, essaie la coup de Moïse; mais n'est pas Moïse qui veut et il sera obligé de se mouiller les "précieuses".

Le dernier puits est partiellement équipé mais les spits sont remplis de sable et il est difficile d'y fixer une plaquette.

Au retour, l'eau dans les bottes nous évite la surchauffe lors de la remontée. Voilà un beau sujet d'étude : "Quel est le niveau maximum d'eau dans les bottes en fonction de la hauteur du puits à remonter pour éviter la surchauffe?" Après quelques tests, la solution serait de un centimètre d'eau pour trois mètres de remontée.

31 juillet

Au programme :

*       Sentier de Séranne Pontel ou une petite rando sympa (Hans, Jim, Tanguy, Yves, Patrick)

Aujourd'hui, pas de grottes en vue, une balade en voiture pour certains et une rando d'un peu plus de seize kilomètres pour les autres.
Cette rando est sensée durer environ six heures, mais comme d'habitude, nous n'allons pas respecter ce timing. Nous passons par Pégairolles de Buèges, un joli village arrimé sur le sommet d'une colline; ensuite le chemin redescend vers un sous-bois et à ce moment commence une longue remontée (pas violente, mais longue) qui nous amène au Mas d'Aubert d'où démarre une grimpette nettement plus dure et ensoleillée pour arriver au sommet de la montagne et qui dit sommet dit plein soleil, la descente de ce massif se fait surtout avec hélios au-dessus du crâne et à une (très) grande vitesse pour terminer la balade en un peu moins de quatre trente.
 

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1 août

Au programme :

*       Escalade aux rochers de "la Calasse" (Hans, Jim et Patrick + Rita et Clovis pour l'assistance morale)

*       Abîme de Rabanel – 1ère tentative (Hans, Jim, Tanguy)

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Retour sur le même site d'escalade avec pour échauffement les deux mêmes premières voies que vendredi (Petit papa baston et la nuit des Blaireaux) et une troisième pour Hans et Jim, "La reprise n'est pas en vue, une 6a- où Jim a refait une deuxième fois un passage délicat pour mieux comprendre les bons gestes à faire (on oubliera la petite tricherie pour équiper la voie, d'ailleurs qui ira le dire…).

C'est aussi l'occasion pour Clovis (outre le support moral) de patauger dans la Buèges et de s'initier à l'escalade.

 

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Pendant que Hans et Jim s'usent les doigts sur les rochers, Tanguy prépare les cordes pour attaquer l'abîme qui est une grande classique de la région dont la particularité est un grand puits en partie à ciel ouvert. La description prévoit une marche d'approche d'une vingtaine de minutes, mais après dix minutes on se rend compte qu'on a loupé une bifurcation, donc demi-tour et cette fois on suit le fléchage rouge qui nous amène à l'abîme; bref, il a fallut deux fois plus de temps pour y arriver. Les pieds sont déjà trempés et les torses puissants (Qu'est-ce qu'il ne faut écrire!) ruissellent de sueur.
Un premier équipement nous amène sur une terrasse de mousses et fougères à –25 mètres; à droite, des broches en place permettent d'équiper "le toboggan" qui donne accès à un rand puits plein pot (90 mètres). Notre plus grande corde faisant 76 mètres, nous continuons vers la gauche sur deux paliers successifs qui nous amènent en haut d'un autre grand puits mais contre paroi, ce qui permet d'installer une succession de passages fractionnés. Nous pensions que le P90 était compté à partir de la première terrasse et que la corde de 76 mètres suffirait, mais la suite va nous montrer le contraire. Un bon double amarrage est fait avec cette dernière et nous voilà partis; un fractio, deux, trois, quatre, cinq et … C'EST FOUTU! Il manque une bonne vingtaine de mètres pour atteindre le fond.
Avec regret, nous commençons à remonter, après avoir décidé de laisser les cordes en place; nous reviendrons demain et nous irons au fond, parole de STALACS!


2 août

Au programme :

*       Abîme de Rabanel – 2ème tentative (Hans, Jim, Tanguy et ... Patrick)

Après l'échec de la première tentative (faute de corde qu'ils disent!), on tente la seconde avec la ferme intention d'arriver au fond. Cette fois, la marche d'approche ne prend que 20 minutes.
PAUSE REVENDICATIVE
Serait-il possible de faire des grottes pas trop loin des voitures, que le chemin soit horizontal et régulier?
Parce que ces longs chemins qui montent avec des cailloux dans les pattes, ça commence à …
FIN DE LA PAUSE REVENDICATIVE
Bref, après la marche, la grotte.
Je ne sais si quelqu'un a compté les fractios du grand puits mais il faut bien les doigts des deux mains pour les dénombrer. En tout cas, on ne pourra pas dire qu'on manque d'espace dans ce puits vu ses dimensions; arrivés en bas on se trouve au pied d'un éboulis qui conduit au puits "sud" et, un peu plus loin, à la salle R. de Joly.
A la sortie de l'abîme nous avons la surprise d'y voir notre mirabelle sacrifiée et Jeanine venus voir comment ça se passait.
Au retour auprès des voitures, nous remarquons Yves en pleine cueillette de mirabelles et quelle ne fut pas notre joie lorsqu'il nous déclara qu'il sacrifia son sac de fruits pour le club (Quelle générosité…)
Pendant que nous nous amusions sur des cordes (s'amuser, s'amuser… façon de parler!), Willy s'offre une petite visite de Montpellier.

3 août

Au programme :

*       Pic Saint Loup (Jim, Patrick)

*       Sentier des Drailles (Hans, Rita, Clovis, Willy, Yves et Jim)
 

La balade du Pic est assez agréable et nous permet, du sommet, d'avoir une belle vue à 360° sur la région avec en prime un ballet de planeurs rôdant autour du Pic. Une fois de plus nous avons été nettement plus rapides que le temps annoncé.

Durant l'après-midi, certains ont fait le sentier des Drailles et une partie d'entre eux a même visité le village préhistorique de Cambous. Tandis que le représentant de la très Sainte Glande se ressourçait au bord du Lac Majeur en compagnie du sieur Chiwanga qui devait se préparer psychologiquement pour sa roller parade du soir à Montpellier.

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4 août

Au programme :

*       Escalade au rochers de "La Calasse" ( Hans, Jim, Tanguy et Patrick)

C'est plus de l'amour, c'est de la rage!

Petit échauffement, avec "Népomucène entre en scène" (une 3c), ensuite "la Saga de Thorngull", "la Reprise n'est pas en vue" et pour finir "Correspondance spéciale" (une 6a).

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Après cette dernière débauche d'efforts, un dernier passage au "Lac Majeur" s'impose pour notre moral et pour nous redonner une bonne condition physique en vue du retour vers la Belgique le lendemain.

En tout cas pour ce camp, il était un fait évident que le passage quotidien par la piscine était bénéfique, salvateur et incontournable (mais ça je le savais déjà, il suffit d'initier les plus réticents et c'est mission accomplie!)

C'était notre dernier jour; demain, certains d'entre nous retournent vers la Belgique ensoleillée et reprendre leurs activités et d'autres vont profiter encore de quelques jours dans le sud de la France

 

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